Dominique Delrot
Psychothérapeute C.E.P.
Sexologue Clinicienne
Psycho-Énergéticienne
Psycho-Somatothérapeute
Psychothérapeute
Psychothérapie Relationnelle
SexoThérapie - SexoAnalyse
Thérapie Psycho-Corporelle
Psycho-Somatothérapie
Thérapie Énergétique
Psychothérapie
Psychothérapeute - Psychologue clinicienne - Sexologue clinicienne - Sexoanalyste
Massage - Massothérapeute - Énergétique - Olfactothérapie - Somaénergétique - Olfactothérapie
Bld Charles Van Pée, 27 - 1400 Nivelles (B) - +32(0)475.55.13.31 - dominiquedelrot@skynet.be
La Sexoanalyse
"À la recherche de l'inconscient sexuel"
« La Sexoanalyse a comme objet d’ étude l’ inconscient sexuel.
En tant que méthode thérapeutique, elle a pour but de découvrir les conflits
sexuels et les anxiétés inconscientes dont le trouble sexuel est porteur, et de
les neutraliser par un travail correctif sur l’imaginaire (fantasmes) et la
réalité. » ( Crépault)
« L’objectif central est donc d’amener le patient à comprendre la genèse de son trouble sexuel et les
facteurs inconscients qui contribuent à son maintien pour ensuite faire une expérience corrective sur
l’imaginaire et le réel afin de rétablir la fonctionnalité sexuelle et de permettre l’ acquisition d’une
meilleure maturité et santé sexuelle ». ( Crépault in Les Sexothérapies )
Les concepts en matière de santé érotique permettent à la sexoanalyse de définir les axes à évaluer
pour tout type de désordre sexuel qu’il s’agisse de sexoses (troubles du désirs, imaginaire hypoactif), de troubles d’excitation sexuelle (troubles érectiles, éjaculation prématurée), de troubles orgastiques, de sexoses coïtales (vaginisme, dyspareunie, troubles orgasmiques coïtaux), de trouble de l’identité de genre, ou d’orientation sexuelle, d’érotisations atypiques, de dysphories intersexuelles (hétérophobie, misogynie, misandrie) ou de désordres de la vie amoureuse.
En sexoanalyse, la santé érotique repose sur :
• La capacité de désirer, d’imaginer, de jouir ;
• La capacité d’érotiser une personne humaine consentante ;
• L’absence de perversion (hostilité érotisée) ou de déviances majeures (paraphilies) ;
• L’intégration des érotismes fusionnels et antifusionnels ;
• La capacité d’érotiser l’imaginaire et le réel (fantasmes et actes non délictueux) ;
• La capacité d’autoréguler ses désirs érotiques (non-addiction) ;
• La prédominance de la fonction complétive (c’est- à-dire l’utilisation de la sexualité surtout pour
combler des besoins psycho-affectifs) ; sur la fonction défensive (pour effacer les conflits internes
et/ou les misères quotidiennes).
• La capacité de sublimer temporairement ses désirs dans des activités créatrices.
La sexualité s’appuie sur trois sphères :
• "La Fonction Érotique", c’est-à-dire l’ ensemble des manifestations sexuelles, qu’ elles soient
fantasmatiques ou réelles qui sont une source de plaisir érotique. La sexualité est vue comme
étant un construit psychique, la libido étant dépendante de la signification de ce construit
intrapsychique.
• "La Genralité", c’est-à-dire la quantité de masculinité et de féminité porte un individu.
Il s’agit d’évaluer avec le patient qu’elle est la vision subjective de sa masculinité ou de sa féminité,
quelques critères objectifs seront définis plus loin.
• "Les perceptions et les attitudes conscientes et inconscientes, concernant l’autre sexe".